Actualités

Par le dessin, la musique et l'installation, Rainier Lericolais (né en 1970) compose une oeuvre nourrie par les avant-gardes historiques. Sa découverte du peintre et décorateur Boris Aronson (Kiev, 1899 - New York, 1980), et des décors créés par cet artiste pour le théâtre yiddish, l'a ainsi plongé dans l'univers visuel et sonore du Dibbouk.

À l'occasion de la 17e Biennale d'architecture de Venise, l'exposition controversée de la BDA Galerie à Berlin présentée en 2020 a été invitée par l'Université de Venise (IUAV) à être présentée, dans une version élargie et actualisée, du 27 août au 24 septembre 2021. Ainsi, les positions artistiques déjà exposées à Berlin par Julian Rosefeldt, Lothar Hempel, Farao et Kay Fingerle seront élargies par les oeuvres actuelles de Tracey Snelling, Alexis Dworsky et Andreas Fogarasi.

L'exposition "Rêvons à des jours meilleurs !" est une proposition artistique invitant à sortir de la crise actuelle en puisant dans nos ressources humaines : guérir, remettre en question, se connecter avec la nature, choisir, dénoncer, donner du sens et regarder vers l'avenir.

Placer, préserver, trouver, produire, déposer, catégoriser, manipuler, assembler, commander, soigner, préparer, produire, nettoyer, réparer, collecter, sécuriser, transformer, emballer, distribuer, montrer, démonter ou assembler : Les choses provoquent des actions et elles en font partie. Sans les choses, il n'y aurait pas grand-chose à faire.

Les idées sur la relation entre les objets et les personnes varient selon l'époque et le lieu. La redécouverte actuelle des choses en tant que véhicules de l'action se concentre sur leur matérialité et sur la manière dont celle-ci n'est pas seulement le résultat de l'intention humaine mais guide également l'action humaine. L'exposition "Zwischen den Dingen" (Entre les choses) rassemble des oeuvres d'art qui se concentrent sur des objets quotidiens ordinaires, discrets ou obsolètes. Placées dans l'espace par des artistes, ces choses perdent leur univocité et soulèvent des questions : Que signifient les objets pour nous ? Comment façonnent-ils notre vie quotidienne ? Et surtout, qu'est-ce qui nous relie à eux ? Qu'est-ce qui nous sépare ?

Texte extrait du site du volkskundemuseum

Nouveau rendez-vous à la croisée entre art et design : Made In Design, la plateforme digitale s'associe avec la galerie d'art contemporain Bertrand Grimont pour une exposition inédite autour du thème de la circularité à l'occasion de la Paris Design Week, du 9 au 23 septembre 2021.

Leur espace est ainsi transformé en un écrin pour designers et artistes émergents remarqués pour leur approche innovante, sensible, et leurs actions concrètes autour de la circularité et de l'upcycling.

Haus est un format d'exposition collaboratif et non commercial qui rassemble une variété d'interventions artistiques, curatoriales et discursives dans un cadre intime. En créant une plateforme expérimentale où se rencontrent différentes stratégies, structures et formats d'exposition, le projet est envisagé comme un outil permettant d'explorer de nouvelles idées de présentation d'oeuvres d'art et de formats d'accompagnement.

Texte extrait du site Haus.wien

Quasiment rien n'est accroché au mur dans l'espace d'exposition. Trois artistes, trois oeuvres, trois attitudes différentes y cohabitent. C'est aussi trois engagements qui s'y rencontrent. L'exposition convoque une histoire vivante de la sculpture en invitant trois générations différentes d'artistes, produisant un paysage contemporain de l'objet détourné.

« Été rime avec vacances. C'est le temps des sorties, des marches en pleine nature, des bains de mer. C'est la période où l'on cueille des fruits, où l'on cultive son jardin, où l'on retrouve les siens, des amis, où l'on fait des rencontres. C'est camper, nager, se dorer sur la plage, faire de la voile du surf, du parapente, découvrir de nouveaux lieux, voyager. Du fait de la pandémie nous risquions de l'oublier. Par leurs oeuvres, leurs installations, les artistes invités en réactivent l'actualité, en ravivent les émotions. »

Texte Extrait du site du Centre d'Art Contemporain de Meymac

L'exposition « été 2021 » est un premier pas vers un nouveau mode opératoire pour le Musée d'Art Moderne et Contemporain de Genève : basé sur l'idée d'un rendez-vous annuel, à l'image d'une biennale, il s'agit de proposer une rencontre entre plusieurs pratiques que rien ne relie mise à part une chose essentielle : l'intérêt que le musée leur porte.

Autour de ces artistes, des formats extensifs, en collaboration avec d'autres structures, viennent ponctuer l'été de rencontres, performances et expériences hors site.

Cette proposition est aussi une autre façon que le musée a, de s'inciter à réfléchir sur leur collection (comment elle se construit, s'expose et se communique), et d'offrir l'opportunité d'expérimenter la question du musée comme « fabrique d'expériences » et de repenser la question de l'émergence, du soutien et de la collaboration avec des artistes sur une période qui dépasse celle de la simple « exposition ».

"L’exposition Polyphone  regroupe des œuvres d'artistes internationaux.ales qui reflètent la rencontre de sons et de voix multiples à travers des constellations sonores aussi bien convergentes que divergentes. Issu.e.s de différents contextes historiques — des années 1970 à aujourd'hui — et géographiques — dont l'Allemagne, la France, le Japon et l'Afrique du Sud —, les artistes de l'exposition questionnent les effets et le pouvoir de voix et de sons pluriels. Les installations, performances, dessins et vidéos, qui relèvent tous d'une dimension sonore importante, proposent d'interroger des modes perceptuels ainsi que des enjeux sociaux-culturels, voire politiques de la polyphonie."

Texte extrait du site institut français de thueringe

« DESPERANTO est une exposition dans l?espace public. Elle est un nouveau chapitre de l'expérience menée avec l'exposition CODE QUANTUM en 2020 qui proposait une immersion dans une forme suspendue du temps et de l'espace, portée par des oeuvres évoquant différentes perceptions du temps, des cycles ou de l'histoire. Ce moment interroge nos aptitudes à nous projeter en tant que groupe social, à fantasmer et construire des scénarios mêlant visions personnelles et mythologies collectives. »

Texte extrait du site de Zébra 3

Le festival Protestformen penche sur le thème de la résistance politique en tant que pratique artistique et la question est de savoir comment le lien entre l'art et le courage peut jouer un rôle important dans ce domaine.

Pour la façade de l'Olof Palme Hof, Andreas Fogarasi a conçu un lettrage lumineux visible de loin, qui reprend l'ancien nom du centre culturel avec sa salle des fêtes, son centre d'éducation des adultes, sa bibliothèque et son musée de quartier.

Il fait entrer dans le présent l'idée progressive de la rencontre égalitaire et illumine la façade avec son cadre typographique-sculptural. Pour son projet "Culture et loisirs", qui a reçu le Lion d'or à la Biennale de Venise en 2007, Andreas Fogarasi avait étudié de manière intensive l'histoire, le présent et la présence urbaine des bâtiments culturels socialistes à Budapest. 

« Cette exposition réunit 50 peintres contemporains de la scène française, sur une proposition de Thomas Lévy-Lasne. Avec un regard assumé vers l’Histoire de l’Art, un intérêt technique pour la touche et les qualités de surface, une certaine froideur dans la représentation, la variété des peintres de l’exposition se retrouve dans leur confiance dans le médium qu’est le tableau : ce besoin immémorial de représenter l’innommable des apparences par la présence d’une peinture. »

Texte extrait du site des arts et des spectacles

« Lumière clignotante, mélange de son, verre brisé, roues sifflantes. Une ville qui ne dort jamais, pleine de rencontres surprenantes, de fantômes et d'âmes solitaires. La métropole accueille les étrangers, mêlant langues et identités sous prétexte de multiculturalisme. Les quartiers bourgeois, touristiques ou populaires racontent la vie de la ville, comment nous nous adaptons et comment nous vivons entre son centre et sa banlieue. La ville est une zone politique et géographique qui divise la population selon la nationalité et continue d'approfondir les tabous, les clichés et les bureaucraties. Le « langage » universel de chaque lieu se distingue et est formulé par ceux qui y vivent, ainsi que par la structure visuelle des enseignes au néon et des affiches, chuchotant dans les rues bruyantes de la ville. Dans l'acte hypnotique, les pigments colorés tombent sur les façades, les gestes effacent les mots et les choses de manière kaléidoscopique à travers notre navigation imaginative de la réalité.  « Une affaire d'inconnu », un lieu déplacé, un moment du passé figé dans le présent et interpelant à l'avenir. »

Texte Extrait du site Centre Tcheque

"Les atomes qui composent l'univers s'agglomèrent, se dissocient et se reconcilient avec force. Bien avant l'idée du temps et de la matière, l'univers est né d'une explosion dans le néant, et il s'épuisera dans un déchirement de toute énergie imaginable. Entre le Big Bang et le Big Rip, les galaxies, les planètes et les étoiles naissent pour s'éteindre dans un éclatement de lumière et de particules. Cristaux, grains et poussières n'ont que faire de leur état, entre liquide, gazeux ou plasmique, car ce sont eux qui façonnent l'immensité. Avec cette carte blanche offerte au duo composé de l'artiste Nelson Pernisco et du curateur Andy Rankin, le projet Avalanche s'expose sur les murs de la galerie. Plus de 100 artistes ont été invités à leur confier une oeuvre, un fragment ou un rebut afin qu'il soit pulveérisé. Cette poudre est ensuite exposée dans des sacs ziplocs."

Texte extrait du site de la Galerie Pal Project

Thierry Lagalla présente ses œuvres au salon du dessin contemporain.

« DRAWING NOW Alternative s’adapte afin de garantir un espace de découverte et de rencontres avant l’été autour de la diversité du dessin contemporain de ces 50 dernières années. »

Texte extrait du site Drawing now art fair

« Ce projet artistique, inscrit dans le cadre de la célébration des 40 ans du Madame Figaro, vise à mettre en avant des femmes résolument engagées en faveur de causes ou qui, dans leur vie quotidienne, font bouger le monde dans tous les secteurs. 26 artistes réaliseront le portrait de 26 femmes d’exception. L’exposition de ces 26 œuvres originales se tiendra dans le cadre extraordinaire de la Monnaie de Paris.

À l’issue de l’exposition, une vente aux enchères des œuvres sera orchestrée par la célèbre maison de vente Artcurial, à l’occasion d’une vente aux enchères en ligne qui aura lieu du 30 juin au 6 juillet 2021. Les bénéfices de cette vente seront reversés aux causes caritatives soutenues par les femmes d’exception. »

Extrait de texte du site Togeth’her

« Dans le cadre de l’opération La galerie sort de ses murs pour s’installer dans les médiathèques, lieu de convergence de savoirs. Olivier Masmonteil propose un de ses tableaux célèbre pour le mariage entre lignes abstraites et figuratives. Le tableau présenté appartient à la série Hommage à Soulages. »

Texte extrait du site de Ouest-france

« Echangez avec Olivier Masmonteil et vous entrerez pleinement dans l’art de la peinture. Vous traverserez les époques (il aime parler de Lascaux et Mathieu Mercier, en passant par Tintoret) et l’artiste saura vous rappeler qu’un tableau est depuis toujours à la fois un espace d’illusion et d’émerveillement. Même au 21e siècle. Véritable artisan, ce Corrézien, également féru de pêche à la mouche, partage ses passions avec une conviction chaleureuse. 

 L’exposition réunit des petits formats dont beaucoup ont été peints spécifiquement pour être à l’échelle de la maison, imaginée comme celle d’un collectionneur. Circulant du vestibule au bureau, en passant par la salle à manger et la chambre dissimulée derrière des voilages, vous serez immergé dans la peinture »

Texte extrait du site de La Maison des Arts

Anita aime les poubelles. Elle est à la fois Glaneuse-objecteuse, Pyromane-casseuse, mais aussi Active-agressive - comme on qualifie les rôles dans une relation, qu'elle soit sexuelle ou autre -, et Climato-convaincue. Chacun des objets et des matériaux qu'elle détourne possède un sens commun, intrinsèque et lisible par tous.
Mais la manière dont elle les assemble, les malmène et les re-forme, est aussi éminemment signifiante. Loin de les esthétiser, ce qui reviendrait à les abstraire du réel, elle parvient, via son geste de sculptrice, à en révéler la dimension résolument humain, pleine de vivantes contradictions. 

Extrait de texte « LA GLANEUSE ET LES CASSEURS », écrit par Anne Dressen

Pour sa génération, Rainier Lericolais est également une sorte de Janus, autant musicien que plasticien. Né à Châteauroux en 1965, Lericolais est passionné de musique au sens large, de la musique concrète à l’avant-garde électronique en passant par la pop, le jazz et les musiques improvisées. D’abord assistant d’artiste, Lericolais a développé un répertoire visuel très inventif, du collage à l’expérimentation photographique, de la sculpture sonore à la « dépeinture » à l’eau sur papier. Les deux sculptures présentées sont des répliques de piano en carton ondulé dont tous les éléments ont été soigneusement découpés et collés. La vision proposée par l’artiste permet d’entrevoir le cœur des instruments, leur structure interne. Associées à deux portraits délavés de musiciens très importants du XXème siècle, John Cage et Morton Feldman, ces deux sculptures forment une sorte de monument silencieux à leur mémoire.

« Avec la 5e édition de son événement 100% L’EXPO – SORTIES D’ÉCOLES, La Villette continue d’offrir un panorama fidèle et exigeant des meilleurs talents de la jeune création artistique française et internationale récemment diplômé.e.s. Pensée comme un véritable tremplin professionnel, 100% L’EXPO invite cette année de nouvelles écoles parisiennes et régionales pour mettre en lumière une génération émergente d’artistes aux pratiques variées. »

Texte extrait du site de La villette

"Suite à une résidence de 3 mois, Selebe Yoon présente une exposition personnelle de l'artiste français Kevin Rouillard sur deux sites : dans l'espace urbain sur l'avenue Hassan II - l'une des rues commerçantes les plus fréquentées de Dakar - et à la galerie. 

Depuis plusieurs années, Kevin Rouillard aplatit, martèle et soude des bidons métalliques - récipient de marchandises sur lequel repose notre monde globalisé. À Dakar, l’artiste découvre des matériaux en fin de vie, érodés et souillés, utilisés presque à l’épuisement - un contraste avec ceux utilisés en France. Se retrouvant en fin de chaîne avec des matériaux fatigués, la débrouille – mode de fonctionnement pour la plupart – le devient aussi pour l’artiste. Tel un ouvrier, Kevin Rouillard répète le même geste ardu de pièce en pièce: coupe, découpe, martelage et soudure sont les opérations qui composent son mantra mécanique. Par ce rituel de labeur, dans une gestualité qui frôle l’absurde, un sens se déploie pour lui. Cette redistribution de nouvelles formes des matériaux de seconde main les libère de leurs fonctions utilitaires. Temps d’arrêt pour ces objets de transit. Pure contemplation de forme et de couleur pour le spectateur."

Extrait de texte, site de Selebe Yoon

Infos : https://francismaerefinearts.be/exhibitions/pierre-clerk-paintings-sculptures

Cette oeuvre de Lisa Beck fait partie de l'exposition « L'énergie dans tous les sens », qui réunit des oeuvres d'art en dialogue avec des objets des vastes collections du Shaker Museum pour célébrer la vie et l'héritage de l'artiste et galeriste Hudson (1950-2014). Cette exposition met en lumière les croyances de Hudson, la valeur de l'acceptation, l'égalité dans l'art sur les thèmes de l'inclusion, de l'interconnexion et de l'innovation, une combinaison d'oeuvres inventives qui captent l'esprit et l'oeil !


En raison de cette période de crise sanitaire, cette exposition sera ouverte au public jusqu'à l'été prochain. Pendant les neuf mois de l'exposition, les membres du Tang Teaching Museum filmeront certaines oeuvres et en remplaceront d'autres dans différents ensembles - utilisant la galerie comme espace de recherche. La version en ligne de l'exposition s'agrandira avec des vues d'installations, des histoires orales d'artistes exposants, et plus encore, avec un calendrier de programmes publics en ligne qui comprendra des dialogues d?artistes, des visites de curateurs et un projet spécial de commande de nouvelles poésies et musiques créées en réponse à l'exposition.

info : info@galeriethomasbernard.com

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credit : Marc Dommage

info : info@galeriethomasbernard.com

Avec Sara Anstis, Lucas Arruda, Joseph Dadoune, Marc Desgrandchamps, Mimosa Echard, Vincent Gicquel, Karine Hoffman, Junya Ishigami, Paul Kindersley, Jérémy Liron, Rosilene Luduvico, Dora Maar, Flora Moscovici, Alexandre Benjamin Navet, Lisa Oppenheim, Kim L Pace, Gina Pane, Tere Recarens, Jérôme Robbe, Samuel Trenquier, Natsuko Uchino, Edouard Villemagne, Edouard Wolton, Janna Zhiri.

Premier catalogue d'envergure sur le travail de l'artiste, la monographie d'Anita Molinero souhaite rendre compte de l'ambivalence de cette oeuvre, à la fois héritière d'une histoire académique de la sculpture mais également poreuse à des effets venus de la science-fiction, du cinéma gore voire du fait divers.

Edité par Paul Bernard.
Textes de Anita Molinero, Paul Bernard, Anne Dressen, Valérie Mavridorakis, Vinciane Despret, avec une contribution de Winshluss.

information : info@galeriethomasbernard.com

Publié par la galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico, Paris, avec le Musée des beaux-arts de La-Chaux-de-Fonds, le 19 Crac, Montbéliard, l'École municipale des beaux-arts / galerie Édouard Manet, Gennevilliers.

Son projet intitulé « Sa place est dans un musée » sera réalisé au Mexique en 2019. L’exposition aura lieu au Palais de Tokyo en 2020, accompagnée d’une édition monographique.

Récit-installation fictif imaginé à partir de la réécriture de l’arrivée de Christophe Colomb sur le continent Américain. L’artiste propose une uchronie où le rapport de force de l’Occident sur les anciennes Amériques n’aurait pas existé.