La galerie Emmanuel Hervé et la galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico sont heureuses de présenter Accrochage #1, un dialogue entre les oeuvres de Fernanda Gomes et Sergio Verastegui.

Fernanda Gomes est née en 1960 au Brésil.
Elle vit et travaille à Rio de Janeiro.
 
 
A propos de son travail Fernanda Gomes écrit :

« Peinture, sculpture, architecture. Tradition de ruptures. La pensée est plastique. Plans de réflexion, avec multiples significations. Autant de questions sont au coeur de cette investigation, lumière!, couleur : blanc. Ligne, plan, volume, espace. Simplicité. Activer les sens. Détachements, déplacements, aussi dans l'imagination. Peinture et sculpture articulent un espace total et une autonomie. Perspectives révélées par le mouvement du spectateur. Inclure le paysage du monde. Jouer librement avec les choses, parce qu'elles sont avant tout des choses. Laisser derrière le verbe, avec rigueur et émotion ».
 
Expositions récentes :
2015 - Galerie Peter Kilchmann, Zurich, Suisse
2014 - Galerie Luisa Strina, São Paulo, Brésil
2013 - Centre international de l'art et du paysage, Vassivière, France
Alison Jacques Gallery, Londres, Royaume Unni
2012 - Casa de cultura Laura Alvim, Rio de Janeiro, Brésil
Galerie Emmanuel Hervé, Paris, France
Museu da Cidade, Lisbonne, Portugal
2011 - Museu de Arte Moderna do Rio de Janeiro, Rio de Janeiro, Brésil
 
Collections publiques :
Centre National des Arts Plastiques, Paris, France, Centre Georges Pompidou, Paris, France, Kadist Art Foundation, Paris, France, Tate Modern, Londres, Royaume Uni, Miami Art Museum, Miami, USA, Fundación/Colección Jumex, Mexico, Mexique, Vancouver Art Gallery, Vancouver, Canada, Museu Serralves, Porto, Portugal, Museum Weserburg, Brême, Allemagne, Museu de Arte Moderna, Rio de Janeiro, Brésil, Museu de Arte da Pampulha, Pampulha, Brésil

Sergio Verastegui est né en 1981 au Pérou.
Il vit et travaille entre Paris et le Mexique.
 
Economie de moyens et de gestes constituent la base de la réflexion de Sergio Verastegui vis-à-vis de la question du rapport au réel. Ses pièces sont à envisager comme des annotations, des formes d'écriture proche du fragment. L'aspect rudimentaire des oeuvres de Sergio Verastegui faites de matériaux pauvres, rebus ou éléments de récupération, pourrait permettre un rapprochement avec l'Arte Povera. Cependant, la démarche de l'artiste n'est pas la même, il ne s'agit pas d'une guérilla contre la société de consommation, mais de l'expression d'une « nouvelle pauvreté » en organisant de façon inattendue et casuellement fortuite des rencontres poétiques d'objets et matériaux divers. Alliant forte présence matérielle et conceptualisme, les oeuvres de Sergio Verastegui apparaissent comme des fragments de réalités extraites d'un monde déchiré.
Sergio Verastegui cite volontiers Alain Badiou à propos de son travail : « L'important ce n'est pas de savoir ce qu'on a oublié mais de comprendre ce qui fait trace en nous ». Décontextualisés et recontextualisés, les fragments-traces constitutifs de ses installations, s'ils ne perdent pas leur qualité originelle de vecteurs de sens, en assument volontiers d'autres.
 
Expositions récentes :
2016 - Dead Eyes Opened, Galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico, Paris, Francce
2015 - °°°°°°°LINES EYES LIES°°°°°°°, sp-arte 2015, São Paolo, Brésil
Dust: The plates of the present, Baxter St/Camera Club of New York, New York, USA
2014 - Skins, grids & drop drawings (1), Galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico, Paris, Francce
Skins, grids & drop drawings (2), Galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico, Bordeaux, Francce
ART-O-RAMA, artiste invité, Friche Belle de Mai, La Cartonnerie, Marseille, Francce
Flatland, un plateau de sculptures, MAMCO, Genève, Suisse
 
Collections publiques :
FRAC Bretagne - Rennes, MAMCO - Genève, FRAC Limousin - Limoges, Artothèque du Limousin - Limoges, CNAP - Centre National des Arts Plastiques - Paris